Les organisations agricoles avaient jusqu’au 1er mai pour prendre position sur le train d’ordonnances 2025. L’Union suisse des paysans a rendu sa copie après trois votes sur des désaccords.
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Aujourd’hui à 08:16, mis à jour à 09:00
Pour une fois, un train d’ordonnances agricoles passe comme une lettre à la poste. Ou presque. Il faut dire que les modifications proposées par le Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche (DEFR) ne touchent ni les paiements directs ni les améliorations structurelles. Une première dans l’histoire de la politique agricole, selon Francis Egger, directeur adjoint de l’Union suisse des paysans (lire Agri du 31 janvier 2025). Qu’on ne s’y trompe pas, le dépouillement des 12 ordonnances concernées a tout de même exigé un travail d’analyse rigoureux et approfondi depuis le 23 janvier dernier, date de la mise en consultation. Moins volumineux que les trains précédents, le «paquet 2025» apporte une certaine stabilité, ce que salue l’USP. La majorité des nouvelles dispositions entrera en vigueur le 1er janvier 2026.
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Entre les lacs de Neuchâtel et Morat, Léandre Guillod cultive du riz. Un défi agronomique mené en famille, qui exige une bonne gestion de l’eau. Le projet favorise la biodiversité et les circuits courts.
