Logo

C’est la vie

Yves Gaillet. Prévoyance et engagement

D’abord producteur de lait, puis détenteur de vaches allaitantes, Yves Gaillet s’est finalement découvert plus cultivateur qu’éleveur. Il s’est séparé de son bétail en 2013, puis s’est tourné vers le bio. Âgé aujourd’hui de tout juste 50 ans, il se dit satisfait de ses choix.

Yves Gaillet mise sur une mécanisation au top. Il était l’un des premiers à s’équiper d’un guidage automatique par satellites.V. Gremaud

Vincent Gremaud

Vincent Gremaud

6 mai 2025 à 08:05, mis à jour à 08:11

Temps de lecture : 4 min

Sourire aux lèvres, Yves Gaillet ouvre spontanément la porte de sa maison qui surplombe le lac de Morat, à Mur (FR). Le contact est facile et franc. Le personnage se montre chaleureux, visiblement épanoui. Le plan d’un hangar est affiché au mur de sa cuisine. «Je veux coloniser mon exploitation à l’extérieur du village en construisant un hangar agricole avec un atelier», justifie-t-il. Un projet longtemps repoussé à cause d’une reprise difficile du domaine familial.

Cet article vous intéresse ?

Abonnez-vous dès maintenant pour accéder à tous nos articles et médias.

Les bonnes raisons de s’abonner

  • Accès illimité aux contenus réservés aux abonnés

  • Accès au journal numérique dès 5h

  • Livraison à domicile chaque vendredi


Déjà abonné(e) ? Se connecter

Dans la même rubrique

C’est la vie

Claudy Pannatier. Pour les animaux et le patrimoine

Éleveur à temps partiel de vaches et de moutons à Evolène (VS), Claudy Pannatier est attaché à ses bêtes – particulièrement ses moutons – autant qu’à ses racines. Il considère l’élevage de montagne comme partie intégrante d’un patrimoine qu’il s’efforce de préserver.