GRTA. Un effort attendu des collectivités
La filière de la volaille GRTA ne vend que 40% de sa production sous label, le solde l’étant sous d’autres marques, moins exigeantes. Le manque à gagner se répercute sur la chaîne et reflète les contradictions des politiques publiques.
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Alain-Xavier Wurst
19 septembre 2025 à 09:00
Quand, le 25 mars dernier, la filière volaille Genève Région - Terre Avenir (GRTA) se réunit à l’invitation du Département de la santé de l’État de Genève, la situation est tendue. Depuis des années, à peine un tiers des poulets élevés sous label GRTA sont valorisés comme tels. Le reste est déclassé sous d’autres marques, aux standards moins exigeants. Un manque à gagner de plusieurs dizaines de milliers de francs est à déplorer pour l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur, qui menacent de se retirer.
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