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GRTA. Un effort attendu des collectivités

La filière de la volaille GRTA ne vend que 40% de sa production sous label, le solde l’étant sous d’autres marques, moins exigeantes. Le manque à gagner se répercute sur la chaîne et reflète les contradictions des politiques publiques.

Le manque à gagner se répercute sur la chaîne de valeur et reflète les contradictions des politiques publiques (photo du poulailler de Christophe Chenevard à Jussy).A.-X. Wurst

Alain-Xavier Wurst

Alain-Xavier Wurst

Aujourd’hui à 09:00

Temps de lecture : 5 min

Quand, le 25 mars dernier, la filière volaille Genève Région - Terre Avenir (GRTA) se réunit à l’invitation du Département de la santé de l’État de Genève, la situation est tendue. Depuis des années, à peine un tiers des poulets élevés sous label GRTA sont valorisés comme tels. Le reste est déclassé sous d’autres marques, aux standards moins exigeants. Un manque à gagner de plusieurs dizaines de milliers de francs est à déplorer pour l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur, qui menacent de se retirer.

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