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Ecole d’agriculture

Neuchâtel. «Il faut considérer l’intelligence artificielle comme une opportunité d’aide»

Alors que l’intelligence artificielle a le vent en poupe, Laurent Winkler, le nouveau directeur du pôle Terre et Nature, à Cernier, souhaite éveiller l’esprit critique des étudiants qui ont entrepris une formation dans l’École de Cernier.

Pour Laurent Winkler, «il est certain qu’il n’est plus possible de faire sans le numérique. Il est illusoire de penser que l’on peut vivre sans».J.-A. Choffet

Propos recueillis par Jacques-André Choffet

Propos recueillis par Jacques-André Choffet

27 mai 2025 à 11:17

Temps de lecture : 5 min

Nommé à la tête d’une des huit unités que compte le Centre de formation professionnelle neuchâtelois (CPNE), Laurent Winkler, âgé de 52 ans, a repris la direction depuis février du Pôle Terre et Nature sis à Cernier. Pas moins de 234 élèves y suivent des cours en vue de l’obtention d’un diplôme d’horticulteur, de fleuriste, de forestier-bûcheron ou d’agriculteur. L’ensemble de ces étudiants est réparti dans 23 classes. Pour le nouveau directeur, c’est un défi de taille, lui qui a fréquenté un parcours académique couronné de diplômes, mais pas en lien direct avec la nature.

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