Logo

Ecole d’agriculture

Alpages. Proposer de la main-d’œuvre formée pour pallier le manque de personnel

Le manque de main-d’œuvre est un souci récurrent dans les alpages. Le travail en est parfois impacté ou alors ce sont les exploitants qui compensent en allongeant encore plus leurs journées.

Murielle Tinguely donne son cours sur la fumure directement sur le terrain.S. Deillon

Sarah Deillon

Sarah Deillon

Aujourd’hui à 00:00

Temps de lecture : 6 min

Dans les alpages, les inquiétudes les plus relevées depuis quelque temps concernent la sécheresse et le manque d’eau, la pression des grands prédateurs, l’embroussaillement et le manque de main-d’œuvre. Ce dernier point est d’ailleurs responsable de la plupart des autres problématiques. «Le manque de main-d’œuvre ou alors le travail avec du personnel pas suffisamment qualifié, c’est ce qui revient le plus à nos oreilles en ce moment. Les alpages sont tenus avec de moins en moins de monde et cela peut compliquer leur gestion: lutte contre les mauvaises herbes et embroussaillement, présence autour du bétail pour repousser le loup, difficultés à entreprendre des travaux d’amélioration des structures, etc.», relève Murielle Tinguely, conseillère en charge des alpages au sein de Proconseil.

Cet article vous intéresse ?

Abonnez-vous dès maintenant pour accéder à tous nos articles et médias.

Les bonnes raisons de s’abonner

  • Accès illimité aux contenus réservés aux abonnés

  • Accès au journal numérique dès 5h

  • Livraison à domicile chaque vendredi


Déjà abonné(e) ? Se connecter


  • Informations utiles

    Plusieurs possibilités existent pour rechercher de la main-d’œuvre: consulter le site internet Zalp, appeler le numéro d’urgence Alpofon, faire appel aux services de Caritas Montagnards ou Volontaires Montagnes, demander les listes des étudiants qui ont suivi le diplôme en conduite d’alpage, etc. Les conseillers agricoles peuvent donner d’autres pistes.