29 octobre 2025 à 14:06
Pour sécuriser les ressources biologiques à long terme, les banques de souches jouent un rôle stratégique. Les dépôts permettent aux entreprises de réduire les coûts de conservation in situ et de retrouver leur souche en cas de sinistre, y compris si le laboratoire d’origine disparaît. Les grandes collections – DSMZ en Allemagne, CCOS en Suisse, ATCC aux États-Unis – sont régulées par le Traité de Budapest. «Il faut compter quelques centaines de francs selon le type d’organisme et le mode de conservation pour le simple stockage de sécurité», indique François Lefort, professeur à l’Hepia de Genève et spécialiste de la question. «La protection sous Traité de Budapest varie, elle, de 1000 à 2500 francs pour une garantie de stockage de 30 ans, selon les collections.»
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