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Cultures

Fertilisation. Les bonnes pratiques pour optimiser l’azote dans les grandes cultures

En ciblant les besoins en azote des cultures, il est possible de garantir un rendement intéressant tout en limitant les pertes. Une bonne chose pour l’environnement et le porte-monnaie des agriculteurs.

Ajuster les apports aux besoins des cultures permet d’économiser de l’argent tout en protégeant l’environnement.Agri

Vincent Gremaud

Vincent Gremaud

22 avril 2024 à 00:00

Temps de lecture : 3 min

Décidées en 2022 par le Conseil fédéral, les trajectoires de réduction des pertes d’éléments fertilisants fixent des objectifs ambitieux. D’ici 2030, il faudra diminuer de 15% les pertes d’azote (et de 20% celles de phosphore), par rapport à la période de 2014 à 2016. En novembre dernier, Agroscope indiquait que ces pertes avaient diminué de 10%. Un effort supplémentaire sera donc nécessaire pour atteindre ces objectifs. Pour ce faire, l’Union suisse des paysans (USP) organise cette année différents webinaires sur le sujet. Le premier de ces événements en ligne en français s’est tenu durant la soirée du lundi 15 avril 2024, avec une vingtaine de participants.

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